CE QUE J’AIME LE PLUS DE MON PARTENAIRE DE RECHERCHE INTELLE4CTUELLE MICHEL LE CONCIERGE… SA CONNAISSANCE PROFONDE DE LA CULTURE DU QUOTIDIEN

Un des dangers de la recherche universitaire… c’est le syndrome de la tour d’ivoire où on publie des livres lus par des confrères qui tentent de faire mieux dans leur prochain livre alors que l’humanité n’aura jamais accès à cette ivresse intellectuelle…

C’est peut-être la raison principale pourquoi je n’enseigne pas, je ne suis pas inscrit, je véhicule en pirate intellectuel, en vagabond de la connaissance, dans une démarche poïétique de doctorat où je n’ai pas à être géré par un agenda qui repose sur la capacité de payer en nombre de mois la maison de ceux ou celles qui me supervisent…

Michel le concierge et Marlene la jardinière (dont c ‘était la fête hier) constituent un ilot d’errance poétique qui pourrait contribuer à révolutionner la citoyenneté citoyenne planétaire par l’émergence de la nanodémocratie exactement comme ces deux chercheurs amateurs qui ont découvert l’ADN.

Hier soir, à la bibliothèque de l’Uqam, je jasais avec Pierre, un jeune doctorant haïtien en philosophie politique qui me demandait sur quels auteurs je m’appuyais pour mon doctorat…

Je lui répondis quie non seulement c’était le doctorat d’une équipe (Auld-Woodard,Rochette) mais que les trois principaux concepts (nanodémocratie œuvre d’art, pays œuvre d’art et vie personnelle œuvre d’art) ne reposaient que sur l’innovation intellectuelle de cette équipe et sur rien d’autres.) l’objectif étant une révolution conceptuelle de celle de la séparaition des pouvoirs de Montesquieu au 18eme siècle.

Ce doctorat sera sans doute un jour déposé clé en mains sans jamais avoir subis l’industrialisation de la connaissance et ses protocoles… Nous vagabondons en toute liberté poétique et poïétique sans l’asservissement… AINSI UN JOUR SERA LA NOUVELLE NANODÉMOCRATIE CITOYENNE PLANÉTAIRE EN FORME DE POINT D’INTERROGATION, LE DROIT DE L’HUMANITÉ AYANT ENFIN LA PRÉSÉANCE SUR LE DROIT DES ÉTATS.

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ANNIVERSAIRE. Le 25 avril 1953, deux jeunes chercheurs – Francis Crick, 36 ans, et James Watson, 24 ans – publiaient les fruits de leur recherche, dans un article de la revue Nature accompagné de quelques dessins (image ci-contre). Peu de chercheurs allaient alors se rendre compte de l’importance de cette découverte. Et il a fallu presque dix ans pour que la communauté scientifique s’aperçoive de la véritable révolution qu’engendraient les travaux de Watson et Crick. Les deux jeunes chercheurs étaient, eux, bien conscients de la portée de leur découverte. En témoigne cette lettre écrite par Francis Crick à son fils Michael âgé de douze ans, peu de temps avant la publication de l’article dans Nature : “Dear Michael, Jim Watson and I have probably made a most important discovery. We have built a model for the structure of de-oxy-ribose-nucleic-acid (read it carefully) called D.N.A.[…] Now we believe that the D.N.A. is a code. In other words we think we have found the basic copying mechanism by which life comes from life” – extrait d’une lettre de Francis Crick à son fils (1). Pour l’anecdote, cette lettre a été mise aux enchères début avril 2013 chez Christie’s où elle a été adjugée 6 millions de dollars : plus de trois fois son estimation initiale.

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